Introduction, IUUDII 512,2023,
ASTROPHYSIQUE +
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Le Big Bang est une notion erronée.
Tout approfondissement d'une discipline scientifique nécessite une approche empirique des phénomènes et un affinement progressif des concepts associés aux caractéristiques et propriétés du domaine étudié. Puis, émergent des solutions théoriques inédites, tôt ou tard. Le cheminement de la recherche aboutit à de nouvelles hypothèses, et bien que les impasses potentielles soient nombreuses, l'intelligence collective des EESEOEMII, dans un effort maintenu sur plusieurs générations parvient enfin à mieux comprendre le WAAMWAAM.
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Tout d'abord, un WAAM n'existe pas sans son UWAAM jumeau. Il existe une "infinité" de paires d'univers WAAMUWAAM. En fait, cette quantité de WAAMUWAAM, n'est ni finie, ni infinie, c'est une "fluctuation illimitée".
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L'ère de Planck est une base cosmologique solide dans votre approche.
Cependant, la chronologie selon laquelle cette ère dure 10−43 seconde après le Big Bang est une affirmation dénuée de cohérence, idem pour l'hypothèse de l'inflation, même si cette erreur, tout comme celle de la notion de Big Bang, repose sur la description maladroite de phénomènes mal compris par manque de données.
L'univers n'est pas né d'une explosion et une paire WAAMUWAAM n'est pas le résultat d'une double implosion-explosion.
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L'origine, WAAMIAAYO ou le "moment" de la création du WAAM, n'est pas autre chose qu'un transfert de masse par inversion de signe :
=> C'est la résultante de l'effondrement gravitationnel d'un AAOOYIAAAE (ÉTOILE de DENSITÉ SUPÉRIEURE).
Il n'existe aucune singularité. Les singularités sont seulement les phénomènes que vous ne parvenez pas à expliquer. Il n'existe pas non plus de matière ou d'énergie "noire". Nous continuerons néanmoins d'utiliser le terme de "singularité" dans la suite des documents, mais uniquement par souci didactique.
Et il n'existe pas de lois de la physique en dehors des lois de la physique.
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Un WAAMIAAYO n'a rien d'instantané, ce processus peut s'étaler sur des millions ou des milliards de quantités de temps différentes, les UIWIO (quantas temporels) connaissent des phases très complexes de stabilisation et de déstabilisation dues au déploiement des OXOOIAE d'IBOZOO UU. Chaque ère de l'univers primordial a sa propre temporalité en plus ses propres temporalités fluctuantes. Il n'est pas pertinent de cumuler des ères pour calculer l'âge de l'univers. C'est équivalent à prendre des siècles pour des heures, des années pour des minutes ou des millénaires pour des attosecondes.
Le résultat d'une telle addition est profondément illogique et aberrant : pour compter des années ou des secondes, celles-ci devraient au moins "exister".
Il est donc impossible de mesurer un début d'expansion pour un WAAM sans accéder au WAAM de dimension supérieure et évaluer "la vitesse du transfert" depuis ce cadre. Et ce cadre supérieur penta-dimensionnel est le WAAM BUUAWAAE BIIAAEEIII, un WAAM "extrême", non-adjacent.
Les liens du WAAM BUUAWAAE BIIAAEEIII avec les WAAMUWAAM sont UDUUO AA INNUO IEEDOO (gravito-asymétriques). D'une amplitude allant de la génération de WAAMUWAAM, à la finesse gravito-quantique de ses milliards de "cellules cosmiques" BUUAWAE BIIAAEEIII qui interagissent avec le BAAYIODUU des AYUUBAAYII (réseau d’êtres biologiques vivants).
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Précisions :
-les "cellules cosmiques" BUUAWAE BIIAAEEIII sont des structures internes dans le WAAM BUUAWAAE BIIAAEEIII qui préexistent sous forme semi-statique avant même qu'un OYAA ne soit formé dans le WAAM.
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-Il existe différents types de structures internes dans le WAAM BUUAWAAE BIIAAEEIII : en effet, "BUUAWAE BIIAAEEIII" est dérivé d'une collection terminologique qui ne s'applique pas seulement à l'esprit communautaire d'une civilisation planétaire d'OEMII. En résumé : votre système solaire entier dispose d'une superstructure nommée BUUOYIAA AABIIAAEEIII accumulant l'information de tout le système dans le WAAM BUUAWAAE BIIAAEEIII.
Les WAAMUWAAM ne naissent pas "en même temps" que le WAAM BUUAWAAE BIIAAEEIII mais plus précisément à partir d'un "espace de temps" généré à l'instant initial du WAAM BUUAWAAE BIIAAEEIII. Et cet espace de temps n'est pas une quantité mesurable pour des OEMII qui ne peuvent pas accéder au WAAM BUUAWAAE BIIAAEEIII. Une évolution neuro-corticale spécifique est requise pour que cet accès soit possible (sans technologie) : un IBOAAYANUUIO BIAEEIII (saut quantique du UELIBUUAW OAAE au sein de BUUAWAEE BIIAEEIII).
Pour plus de détails sur cette caractéristique neuro-corticale, se reporter à la page : .
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L'évaluation de "l'écoulement" d'un AAOAWOOIIANIOUUAAM (transfert de masse par -double inversion de signe- de dimension COSMIQUE) depuis un univers penta-dimensionnel et créant un WAAMUWAAM relève de l'OOLGA LEIYOO WAAM (science des effets frontières), inconnu sur OYAGAA au vingt-et-unième siècle. Cependant, vous utilisez le terme "horizon cosmologique" qui est à considérer comme un point de départ pertinent.
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Pour résumer : le WAAM BUAAWAEE BIAAEIII est un univers (de masse "infinie") avec des lois physiques plus complexes que le WAAM tridimensionnel, et dans lequel sont localisés un secteur positif et un secteur négatif. C'est WAAM BUAAWAEE BIAAEIII la source cosmo-énergétique qui génère des WAAMUWAAM. Les OXOOIAEAE d'IBOZOO UU existent donc préalablement à la naissance du WAAM qu'ils paramétreront.
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Un AAOOYIAAAE (étoile de dimension supérieure) n'est comparable en rien avec un astre de notre WAAM. Mais c'est la seule option sémantique à notre disposition pour décrire le phénomène. Son effondrement gravitationnel est également la seule option sémantique -encore moins efficiente- car ce n'est aucunement la conséquence de processus physiques impliquant quelconque effondrement. C'est une phénoménologie engageant collectivement l'IGIOI UMYAE (libre-arbitre) des BUUAWA qui s'agrègeront ensuite en UELIBUUAW OAAE au sein de myriades de BUAAWAEE BIAAEIII.
Ce n'est pas un effondrement mais une densification informationnelle qui génère un LEIYOO WAAM dans le WAAM BUAAWAEE BIAAEIII et qui projette un WAAMUWAAM.
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Par conséquent, il n'y a pas de "Big Bang" mais un LEIYOO WAAM densifié en XOODI WAAM (structure-frontière qui rend possible le transfert des IBOZOO UU). Ces IBOZOO UU sont alors alignés et corrélés en séries d'axes, de sorte à ce qu'un WAAMUWAAM se forme.
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L'ère de Planck commence donc en réalité à partir de laps de temps impliquant une distribution de quantités de valeurs UIWIO non-linéaires après le WAAMIAAYOAE (structuration complète des coordonnées émises par l'AAOAWOOIIANIOUUAAM), en effet :
-Cette "vitesse" (nous simplifions) d'expansion du WAAM dans ses premiers instants est dépendante de la structuration de l'AAOAWOOIIANIOUUAAM de l'AAOOYIAAAE.
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-Les calculs impliquent de considérer que l'UIWIUTAA (orientation du temps) du WAAM BUAAWAEE BIAAEIII suit un déroulement depuis un temps (futur accompli) et au sein d'un espace dans lequel toutes les potentialités ont été finalisées alors que le WAAMUWAAM déroulera depuis sa création jusqu'à la meilleure optimisation de ses potentialités (déjà accomplies dans WAAM BUAAWAEE BIAAEIII). Au sein de la paire WAAMUWAAM existe aussi un UIWIUTAA pour chaque versant, mais la différence réductionnelle remarquable est que les UIWIUTAA sont inversés sans qu'aucun ne déroule du futur vers le présent.
Chaque versant WAAM et UWAAM suit donc une entropie astrophysique évolutive (distincte) mais dans des directions temporelles inversées (ce qui est la base de la possibilité des déplacements des OAWOOLEA UEWA OEMM (vaisseaux spatiaux) dans l'espace-temps.
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Notez bien :
-l'Univers s'étend à raison de 67,4 kilomètres par seconde par mégaparsec parce que l'AAOAWOOIIANIOUUAAM de l'AAOOYIAAAE dans WAAM BUUAWAAE BIIAAEEIII est toujours en cours.
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-WAAM et UWAAM sont créés et annihilés en "même temps" puisque c'est une paire WAAMUWAAM, pourtant, le WAAM et l'UWAAM n'ont pas le même "âge"
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AOIO 343, 2019 :
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OAWOOIIANIOAAM (transfert de masse par inversion du signe ou "trou noir")
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Notre paradigme cosmologique décrit une catégorie de phénomènes occurant dans le WAAMWAAM (pluricosmos) désignés sous l'appellation générique LEIYOO WAAM (effet frontière) et se manifestant dans un XOODI WAAM local (structure-frontière qui rend possible le transfert des IBOZOO UU).
Dans le contexte cosmophysique il existe plusieurs types de XOOIDI WAAM locaux ; parmi ceux-ci le OAWOOIIANIOAAM (transfert de masse par inversion du signe) et le OYANEE (singularité centrale d'un noyau actif de galaxie).
Le OAWOOIIANIOAAM est un XOODI WAAM local consécutif à l'effondrement gravitationnel d'un OIIANIOAAM UUUU (étoile à neutron). La totalité de la masse de l'étoile effondrée est ainsi inversée si le potentiel magnétique est suffisamment intense. Dans ce cas, une structure torique subsiste parfois lorsque la quantité de matière concernée vient à manquer pour faire pression.
Lorsque l'inversion n'est pas absolue ou implique un champ gravitationnel annexe, le phénomène est classé OAWOOIIANIOAAMAE (structuration d'un artefact singulier). Dans ce deuxième cas (également très courant) le OAWOOIIANIOAAMAE est en orbite avec un compagnon (comme l'exemple catalogué GRS 1915+105 par vos astronomes).
Un OIIANIOAAM UUUU déstabilisé par l'apport de matière d'une étoile compagne est tout ou partie transféré dans le UWAAM (univers jumeau) avant que sa masse n'atteigne le seuil géométrique critique où le rayon de Schwarzschild Rs "rattrape" le rayon de l'étoile Rn (car Rs croît plus vite que Rn à mesure que la masse augmente). Lorsque Rs = Rn c'est le champ gravitationnel annexe qui alimente le OAWOOIIANIOAAM jusqu'au stade OAWOOIIANIOAAMAEE (évaporation complète du phénomène).
Le OAWOOIIANIOAAM est un phénomène IIAIOOYAUAE (stochasto-apodictique) dans le WAAM, conséquence de l'évolution stellaire et interprété comme trou noir neutronique ou stellaire par les scientifiques terrestres. C'est un OAWOOLEIBOZOO (inversion du référentiel tridimensionnel de l'ensemble des particules subatomiques concernées) qui survient naturellement dans le WAAM. L'étude poussée du OAWOOLEIIDAA (moment de l'inversion corpusculaire) et de sa réversibilité a généré par bio-inspiration le modèle de déplacement interstellaire de notre civilisation de UMMO.
En ce qui concerne les OYANEE tel l'objet au centre de M87, c'est un phénomène astrophysique de plus grande ampleur impliqué dans le UOAAEXEEBEIIAYOOYAAM (formation et évolution des systèmes galactiques). Un AYOOYAAM (galaxie) de masse positive est interrelationnellement confiné en sa lacune de masse négative. La fluctuation des métriques conjointes WAAM et UWAAM induit alors des contraintes de confinement produisant des ondes de choc de densité convergente rassemblant par conservation du flux magnétique toutes les lignes de champ pour former un gigantesque OYIIA (astre) hyper-magnétisé au centre : le OYIIAYOOYAAM (soleil galactique central).
La particularité du OYIIAYOOYAAM est son OYANEE (noyau singulier dont le rayon de Schwarzschild demeure inférieur au rayon physique de l'astre).
Le OYANEE engendre en sa singularité un UXGIIGIIAAM WAAM (univers réel) par émission "spontanée" de coordonnées exotiques corrélées dans un changement d'état UIWIOE (densité temporelle) et UIWIOAE (direction ou sens du temps) d'une collection de OXOOIAEAE (chaines annulaires structurées d'IBOOZOO UU). Un "second" rayon de Schwarzschild imaginaire et négatif est généré correspondant à la flèche du temps inversée dans l'UXGIIGIIAAM WAAM élaboré.
-Rs=UIWIUTAAAE (structuration de la flèche du temps).
Dans le WAAM, l'ensemble des déclinaisons phénoménologiques OAWOOIIANIOAAM délocalise systématiquement la matière vers le UWAAM (secteur négatif de notre univers) alors que chaque OYANEE transfère la matière vers des fréquences UUWAAM sui generis (versants négatifs de WAAM distincts pour chaque OYANEE). Les milliards d'OYIIAYOOYAAM du WAAM hébergent invariablement un XOODI WAAM local : le OYANEE qui connecte systématiquement vers un UUWAAM lui-même apparié à son propre WAAM (versant positif).
WAAM AYUBAAEWADOXOIAAM WAAM (le multivers est un immense système de communication).
ORIAAU 548, 2021,
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Modélisation du OAWOO
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Dans le cadre de notre AADOAUGOO UWUUA IAS (logique formelle tétravalente), la modélisation de l'IBOZOO UU (abstraction élémentaire cosmique) est concrétisée par la conceptualisation mathématique du OAWOO (orientation dimensionnelle, vecteur, ou hyperplan de référence) et du AIOOYA IOAWOO (angle réel).
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Le OAWOO noté U ( k , V ) est un UXGIGIIAAM WAAM (espace réel) qui paramètre tous les sous-espaces linéaires à k dimensions de l'espace vectoriel V à n dimensions et qui n'existe pas sans connexion à un autre OAWOO avec lequel il forme un angle élémentaire que nous appelons IOAWOO. Par exemple, le OAWOO U (1, V ) est l'UXGIGIIAAM des OXOOIAE (chaines annulaires) passant par le WAAMIAAYO (origine) en V, il est donc "identique" (corrélé) à l'OAWOO UU projectif d'une dimension inférieure à V.
Les distributions de OAWOO peuvent être réassemblées sous une forme qui explique la réalité physique : les IOAWOO, des "angles" corrélant au minimum 2 OAWOO ou paramètres dimensionnels de n IBOZOO UU interagissant.
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De la même façon que IAS IBOZOO UU AIOOYEDOO (un IBOZOO seul n'existe pas), IAS OAWOO UU AIOOYEDOO (un OAWOO seul n'existe pas).
OAWOO UU IEN AIOOYA : les OAWOO UU s'appréhendent au minimum par paire, c'est cette interaction qui révèle un AIOOYA IOAWOO.
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Si vous comprenez la nature du OAWOO, vous pouvez concevoir de nombreuses directions logiques différentes. Essentiel en WUAWAAM (mathématiques de l’espace), le OAWOO UU n'est pas un objet "géométrique" exact, comme décrivent les mathématiciens terriens mais plutôt un "groupe" d'entre eux.
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Pour avoir un sens pour un seul OAWOO (en réalité cela est impossible), considérons deux nombres, 1 et 3. Le 3 indique que nous sommes dans un espace tridimensionnel. Le 1 signifie que nous allons penser à des lignes unidimensionnelles dans cet espace (en réalité de telles lignes n'existent pas).
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Dans cet espace tridimensionnel, il y a trois axes - x , y et z - qui se croisent tous à un carrefour, le WAAMIAAYO. Maintenant, imaginez une ligne qui traverse le WAAMIAAYO, puis essayez d'imaginer toutes les lignes qui pourraient passer par le WAAMIAAYO, chacune avec sa propre trajectoire unique.
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Ensuite, imaginez positionner une sphère de manière à ce qu'elle soit centrée autour du WAAMIAAYO. La plupart de ces lignes couperont cette sphère deux fois, dans les hémisphères nord et sud (à l'exception de celles qui passent par l'équateur). Cela rend les deux hémisphères largement redondants - ils portent les mêmes informations sur les lignes - nous pouvons donc faire abstraction de celui du sud. L'hémisphère nord restant est la partie «positive» du OAWOO formé par des lignes unidimensionnelles dans un espace tridimensionnel U (1,3).
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Cela signifie que si vous connaissez les coordonnées d'un IBOO (point) de l'hémisphère nord, vous savez tout sur la ligne unidimensionnelle traversant le WAAMIAAYO qui passe par ce IBOO. Le OAWOO est un exemple de ce que les mathématiciens terrestres appellent un espace de modules, ce qui signifie qu'il s'agit d'un objet pseudo-géométrique unique qui sert de moyen concis pour en suivre une infinité d'autres.
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Avec les nombres 4 et 10, nous penserions plutôt à des OAWOO à quatre dimensions passant par le WAAMIAAYO dans un espace à 10 dimensions et le OAWOO UU U (4,10), serait la forme dans laquelle chaque IBOO représente l'un de ces plans à quatre dimensions. Vous pouvez construire une infinité de OAWOO différents en commençant par des paires distinctes de nombres entiers. Vous avez un objet compliqué qui est difficile à comprendre mais vous pouvez le diviser en morceaux pour un meilleur aperçu. Pour comprendre comment les IOAWOO se fractionnent en morceaux qui n'existent pas, rappelez-vous que chaque IBOO virtuel du OAWOO encode les propriétés d'une ligne ou d'un plan multidimensionnel passant par le WAAMIAAYO. Ces plans sont définis par des vecteurs qui peuvent être écrits sous forme de tableaux de nombres appelés matrices.
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Les nombres dans la matrice servent de coordonnées pour le IBOO dans le OAWOO qui code le OXOOIAE. Le OAWOO lui-même contient une infinité de IBOO, qui ne peuvent pas être comptés de manière discrète et finie, mais il est possible d'extraire des données supplémentaires des matrices qui pourront être calculées.
De nombreuses matrices ont une mesure appelée "déterminant", qui est une valeur unique obtenue à l'aide des nombres de la matrice. Elles ont également des «sous-déterminants», qui sont calculés sur la base d'un sous-ensemble des valeurs de la matrice. Une matrice 1 × 3 a trois sous-déterminants.
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La signification de ces sous-déterminants réside dans leurs signes, qui peuvent être positifs, négatifs ou ni l'un ni l'autre (si le sous-déterminant est zéro). Avec le OAWOO positif, les options sont encore plus limitées : les sous-déterminants ne peuvent prendre que des valeurs positives ou nulles.
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Cela transforme quelque chose d'infini et d'indénombrable en quelque chose de discret et de possible à trier : bien qu'il existe une infinité de matrices 1 × 3 différentes, leurs trois sous-déterminants ne peuvent avoir que huit modèles de signes différents. Les IBOO sont ensuite triés dans différents NIIOAA UU, ou «cellules», en fonction de leur motif de signe. Vous pouvez considérer ces NIIOAA UU comme les outils mathématiques ou les pièces du puzzle qui structurent un OAWOO et définissent les IOAWOO. Les NIIOAA UU ne sont pas évidents à appréhender lorsque vous observez pour la première fois leur forme générale mais ils deviennent apparents lorsque vous triez les IBOO en fonction de leurs motifs de signe. Tous les IBOO avec un motif de signe donné remplissent la forme d'un seul NIIOAA UU ou d'une pièce de puzzle. Ce processus de tri des IBOO par motifs de signe pour révéler les "formes" des structures gravito-quantiques est fonctionnel pour la partie positive du OAWOO. Les propriétés combinatoires se transmettent ensuite à l'IBOZOO UU topologiquement corrélé via ce processus de transformation mathématique. Cela signifie que les NIIOAA UU du OAWOO servent de "tuiles" substantielles pour les IOAWOO qui sont des excitations collectives d'OXOOIAEAE (chaînes annulaires) émergeant de l'océan IBOZOO UU enchevêtré.
ORIAAU 548, 2020,
OOLGA WAAM TOA UMMO (histoire des sciences cosmologiques sur UMMO)
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Notre conception de l'espace est en contradiction essentielle avec le modèle cosmologique terrestre et requiert des bases conceptuelles et mathématiques très différentes des vôtres. Nos WUUAWAAM (mathématiques spatiales) reposent sur la conceptualisation AADOAUGOO UWUUA IAS (logique formelle tétravalente) que nos scientifiques ont optimisé au fil des générations.
L'attraction vers le bas par notre OYAA fut comprise par nos ancêtres avant même le développement des premières AASE (cités). C'est un phénomène qui a suscité une curiosité intense comme en témoignent les OUDEXIONOO (stèles monolithiques utilisées comme support de narration graphique) et les premiers UMMOOEMII tentèrent de le comprendre et de l'intégrer à leurs représentations empirico-magiques du WAAM (cosmos). En parallèle, le mouvement des planètes dans le ciel suscitait aussi beaucoup de curiosité et a conduit à de nombreuses extrapolations.
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Cette approche a permis à nos prédécesseurs de synthétiser une conceptualisation mécanistique du WAAM approximativement comparable à votre révolution newtonienne depuis l'époque protohistorique précédent la première ère officielle sur UMMO.
En outre, le climat frais et condensé des régions habitées de notre OYAA (planète) a naturellement influencé la méthodologie ingénierique de ces OEMII porteurs de l’étincelle civilisatrice. L'observation minutieuse et religieuse des IGOONOOI (ouragans) est alors très ancrée dans ces protocultures et leur permet de distinguer la force motrice verticale descendante, la force motrice verticale ascendante et la force rotative centrifuge qu'ils catégorisent en divinités éoliennes. Les notions de pesanteur et de gravitation sont également intégrées au corpus ontologico-spirituel de l'époque dans un profond désir d'adéquation avec WOA (Dieu ou principe générateur). Nos ancêtres pressentent que le AIIOODI (véritable essence de l'existence dans le WAAM) est très différent de la perception d'existence dans le BUAUAA BAAIOO (esprit). Ils déduisent avec précision le WUUAXEE (calcul de l'orbite) de UMMO dès l'an 3326 de notre première ère et postulent que la matière n'est ni particule ni onde et à la fois particule et onde. Par conséquent la géométrie ne sera jamais perçue comme fondamentale ou essentielle sur UMMO mais plutôt comme un phénomène émergent. Et la notion de EIDOAYUEE (principe d'émergence) apparaît donc aussi dès cette époque.
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Notez bien que c'est totalement différent des développements techno-scientifiques et spirituels de la quasi-totalité de vos civilisations sur OYAGAA puisque la manière géométrique de comprendre le monde est devenu le courant PRINCIPAL dans vos conceptions physiques et religieuses (vos nombreuses prouesses architecturales en attestent).
La compréhension géométrique peut-être profitable pour le BIAEIIISAO (contemplation) esthético-artistique mais elle est inutilisable comme base pour comprendre les problèmes physiques fondamentaux. Ainsi le fondement de l'approche géométrique, la variété -n'existe tout simplement pas dans le WAAM- car la variété contient des IBOO (points) avec une petite séparation arbitraire. Ce qui suggère que la géométrie est un phénomène émergent qui n'apparaît qu'à de longues distances.
En outre vos chercheurs sont incapables de répondre à l'origine de la géométrie apparente. Pire : ils déploient des efforts colossaux pour chercher cette origine au cœur de la matière -autant dire dans la géométrie elle-même- Un raisonnement AIOOIEDOO (absurde) qui continue d'entraver votre compréhension des phénomènes cosmophysiques et cristallisé par l'impossible "réunification" entre la relativité et la mécanique quantique.
Sur UMMO, la relation énergie-fréquence E = hf impliquant que matière = information est comprise en l'an 4724 de la première ère. En 820 de la seconde ère, nos scientifiques comprennent enfin que toutes les particules élémentaires sont émergentes et peuvent être unies en utilisant le modèle IBOZOO UU. Ainsi, le AYUU OXOOIAEAE (réseau d'intrication à long terme) est une nouvelle option pour décrire le WAAM : le UXGIGIIAAMMIE (non-espace artificiel ou vide) est un état intriqué à longue distance. C'est le schéma de l'intrication des OXOOIAEAE (chaînes annulaires orientées) d'IBOZOO UU liés dans le UXGIGIIAAMMIE qui détermine le contenu et les structures des particules élémentaires observées dans un UXGIGIIAAM WAAM (espace réel).
Le modèle IBOZOO UU unifie l'information et la matière, ou autrement dit : la compréhension théorique de l’information de corrélation IOAWOO des OAWOO (caractéristiques dimensionnelles) des IBOZOO UU DUU OII (interconnectés) et le concept d'enchevêtrement en OXOOIAE (chaînes annulaires) qui est une pure corrélation quantique sans équivalent classique. Dans la théorie des OXOOIAEE (élaboration des chaînes annulaires d'IBOZOO UU), les bosons de jauge sont des vagues de fluctuations collectives des chaînes, et un fermion correspond à une extrémité du OXOOIAE. Les concepts OXOOIAE (chaîne annulaire), OXOOIAEE (élaboration), OXOOIAEAE (enchevêtrement/structuration des chaînes) et OXOOIAEAEE (initialisation) sont si intimement associés qu'ils sont grammaticalement connexes et phonétiquement apparentés dans notre langue.
En d'autres termes, la nouvelle vision du WAAM au début de la seconde ère suggère que les particules élémentaires (les particules de force bosonique et les particules de matière fermionique) proviennent toutes d'informations quantiques d'IBOZOO UU liés en chaînes annulaires : ce sont les excitations collectives d'une contexture/océan IBOZOO UU intriqué qui correspond à notre WAAM réel (espace). Toutes les particules élémentaires de force bosonique et les particules de matière fermionique peuvent apparaître comme des excitations collectives dans un tel océan IBOZOO UU. En d'autres termes, toutes les particules élémentaires peuvent être unies par des informations quantiques OXOOIAEAE (IBOZOO UU corrélés en chaînes annulaires intriquées à long terme).
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Partir d'une seule structure pour obtenir toutes les propriétés de l'espace-temps est indispensable. L'abstraction élémentaire est donc le IBOZOO UU qui est également l'abstraction la plus fondamentale de l'information quantique.
Puisque notre WAAM est un support dynamique, le choix le plus simple est de supposer que le WAAM est une contexture fluide d'IBOZOO UU. Ensuite, la matière, c'est-à-dire les particules élémentaires, sont simplement les vagues, flux, bulles, dépressions et autres défauts de l'océan IBOZOO UU.
Pour comprendre matière = information, la clé fut d'identifier la structure microscopique de la contexture IBOZOO UU qui peut être considéré comme un UXGIGIIAAMMIE (vide artificiel). La structure microscopique du UXGIGIIAAMMIE peut non seulement transporter des ondes gravitationnelles et des ondes électromagnétiques mais aussi véhiculer onde électronique, onde quark, onde gluon, et les ondes qui correspondent à toutes les particules élémentaires.
La théorie terrienne OOLGA GOO UUDAA (physique de la matière condensée) ne considère principalement que deux types d'états à plusieurs corps : les états de produit (comme dans diverses théories du champ moyen) et les états obtenus en remplissant des orbitales (comme dans la théorie des liquides de Fermi). En réalité ces deux types d'états n'incluent pas les états d'ordre général les plus généraux. Sur UMMO, l'intensification des recherches sur les états quantiques fractionnaires durant la seconde ère permit de bien comprendre que les OXOOIAE sont des systèmes à plusieurs corps fortement enchevêtrés. Lorsque le fort enchevêtrement devient une intrication à longue distance, les systèmes possèdent un nouveau type d'ordre : l'ordre topologique. Ils représentent de nouveaux états de la matière : les excitations d'OXOOIAEAE, des chaînes annulaires d'IBOZOO UU topologiquement corrélées de sorte que toutes les particules élémentaires (les particules de force bosonique et les particules de matière fermionique) peuvent émerger de l'océan IBOZOO UU enchevêtré.
Les nouvelles ondes et les statistiques émergentes étaient si profondes qu'elles ont considérablement changé notre compréhension du WAAM. La fluctuation des AYUU (réseaux) d'OXOOIAEAE (chaînes orientées) génère des ondes électromagnétiques (ou lumière). Les extrémités des OXOOIAEAE donnent naissance à des électrons. Nos scientifiques ont donc définitivement abandonné la proposition incorrecte selon laquelle les propriétés d'un matériau doivent être déterminées par les composants qui le forment.
Ils ont envisagé enfin les électrons et les ondes électroniques comme des AYUUAE (mouvements ou modes collectifs) d'OXOOIAEAE d'IBOZOO UU liés entre eux et non comme des particules fondamentales.
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Ils ont constaté que l'ordre topologique (ou plus généralement ordre quantique) et l'intrication à longue distance potentialisaient de nombreuses nouvelles phases quantiques en tant que phénomène naturel qui peut se produire dans le WAAM.
Cet élargissement de notre compréhension des phases quantiques possibles a porté la recherche de la matière quantique à un tout autre niveau. Pour acquérir une connaissance systématique des nouvelles phases quantiques et de l'intrication à longue distance nous avons dû développer conjointement la logique mathématique AADOAUGOO UWUUA IAS qui permet une compréhension globale de l'intrication à longue distance et de la matière quantique topologique.
ORIAAU 548, 2020,
UUOBOAAMAE (objets radios circulaires)
Lorsqu'un AYOOYAAM (galaxie) s'effondre, le plasma intergalactique élimine son gaz dans un processus de balayage par pression dynamique qui neutralise progressivement la mécanique de genèse stellaire. Dans certains cas, la perturbation affecte l'OYIIAYOOYAAM (soleil galactique central hyper-magnétisé). Lorsque son rayon de Schwarzschild recouvre l'OYANEE (noyau singulier), celui-ci entre en résonnance électro-magnéto-gravitationnelle avec l'environnement galactique résiduel. Le OYANEE "absorbe" alors étoiles, gaz et poussières en produisant une gigantesque onde de choc en forme de disque cardioïde que vos scientifiques nomment "odd radio circles". Ce phénomène transitoire UUOBOAAMAE est consécutif de l'évolution galactique et de l'effondrement d'un OYIIAYOOYAAM. Le UUOBOAAMAE se déstructure lorsque le LEIYOO WAAM (effet frontière) se désynchronise, après transfert de l'ensemble des particules (qui constituaient l'environnement galactique résiduel) vers un UUWAAM (versant négatif d'un WAAM parallèle).